Pause syndicale
Oh miracle ! il a neigé cette nuit ! cela vous laisse certainement de marbre (vous, pauvres citoyens sans moon-boots qui avaient bravé les fortes chutes de neige en décembre) mais ici c'est tellement exceptionnel que j'ai bien cru que j'avais l'autorisation de Météo France de ne pas aller bosser ce matin. C'est beau la candeur !
Non seulement je suis allée bosser mais en plus je remets un peu de vie dans ce blog.
Je tiens à vous remercier (je n'ai pas sorti la robe de soirée ni le tapis rouge, c'est bonne franquette !) pour toutes vos gentilles attentions durant ces dernières semaines.
Pour vous prouver que je cours (non, toujours pas adepte du jogging) après le temps, petit florilège des choses que je n'ai pas encore faite : acheter un sapin (ça va être chaud maintenant d'en trouver un !), faire un vrai dîner de réveillon (mais trop d'aliments interdits m'empêchent d'envisager la chose avant cet été), vérifier si je suis une reine ou si Le Mec est un roi (pourtant j'ai dégainé vite en décembre pour acheter une préparation Vahiné infecte - ça se vérifie chaque année - mais l'attrait de la fève Snoopy l'a emporté), faire les soldes (mais avec un diamètre de taille qui va crescendo c'est pas évident de pronostiquer mon tour de bide).
Je crève d'envie de laisser mon ventre en consigne, ça me permettrait de partir en amoureux en Italie. Mais il paraît que ce n'est pas possible. Pour compenser ce manque, j'en suis arrivée à écouter des chansons pourries italiennes. Oui, je l'ai fait !