Paris est un rêve
Ah ah ! je vous vois me tomber dessus les Franciliens. Je peux vous assurer que c'est quand nous n'y habitons plus que l'on veut y retourner à tout prix. Bon, je vous l'accorde, de loin, de temps en temps, pour les loisirs c'est parfait. Et bien, tout aurait été parfait s'il n'avait pas fait aussi froid. Le Mec en chapka et mon nez en mode glagla, inutile de vous dire que personne n'a immortalisé nos baisers devant l'hôtel de ville, OK, Doisneau c'est surfait.
De cette météo assassine, de ce vent qui transperçait cachemire et mérinos, nous avons pu en tirer quelques bénéfices : des chocolats chauds (à noter, au Café de Flore le chocolat ne tapisse pas le gosier et se boit avec autant de délice qu'un bon vieux gobelet de cacao du distributeur, le pichet brûlant en prime (ne me demandez pas de vous justifier notre présence dans ce haut-lieu du parisiannisme, j'ai déjà tout dit ici de ce qui me gonfle chez eux), des expos (le bon plan, la clim' en été, le chauffage en hiver, mais pourquoi n'y a t-il pas plus de visiteurs ?), du shopping ... et comme à chaque passage à Opéra, nous avons été sur la terrasse des Galeries Lafayette et la magie a opéré au 7ème ciel étage.
Un petit bonheur gratuit que je partage volontiers avec vous (accès gratuit par escalator).